Musicalement Votre

Musique : Jean-Marie Djibedjian
Paroles :
Denise GIRARD / Bernard PICHARDIE

Chant, clip et mixage : Patricia D

Ne sachant plus
Je lui disais « vous »
Je lui disais « tu »
Ne sachant plus
Je l’aimais c’est vrai
Mais je vous l’avoue
Je l’ai jamais su ...
Mais il le savait

Mes appâts étaient des leurres
Je survivais au présent
Je traversais l’océan
Une écume au fond du coeur

Depuis qu’il s’est fait la malle
J’éparpille tous mes refrains
Et tous mes mots en rafales
Au rythme de mon chagrin

Ne sachant plus
Je lui disais « vous »
Je lui disais « tu »
Ne sachant plus
Je l’aimais c’est vrai
Mais je vous l’avoue
Je l’ai jamais su ...
Lui le savait

Pour lui je bravais l’Atlantique
Le long de quelques sanglots
Je cherchais au fil de l’eau
Son amour et sa musique

Son phare m’éclaire en lumières
Qui m’invitent au bout du quai
Et mon bateau prend la mer
Je pars pour le retrouver

Je vous l’avoue
Je lui dirai « tu »
Je laisserai le « vous »
Je vous l’avoue
Je vous l’avoue
Il m’aime c’est vrai
J’ai trouvé l’issue
Et nos doigts qui se nouent ...

Je vous l’avoue
Je lui dirai « tu »
Je laisserai le « vous »
Je vous l’avoue
Il m’aime c’est vrai
J’ai trouvé l’issue
Et nos doigts qui se nouent
Vous le savez

Auteur : Timilo

Compositeur : Jean-Marie Djibedjian

Chant, clip et mixage : Patricia D

Notre petit train-train à nous
N'a rien d'un train d'ennui,
Même si en le poétisant
Je bouscule ses horaires.

C'est un petit tortillard,
Qui se la coule douce,
En décrivant des vers
Pour redresser sa route.

Dire qu'il est "boute-en train",
Le fait gambader plus vite,
Il redevient, jouet
Qui roule les mécaniques.

Et s'il est plein d'entrain
C'est grâce à ta plastique
Car tu es la seule à voyager
Dans son wagon magique

Ton petit train à toi
C'est notre petit train-train
Qui glisse entre tes doigts
Qui devient train de vie

Notre petit train à nous
N'a rien d'un TGV
S'il ne fait que du trente à l'heure
C'est qu'il n'aime pas arriver à l'heure.

Notre petit train d'amour,
Adore tortiller,
Dans la verte fantaisie;
Pour éviter les fossés de l'ennui.

Courir les jolies bois,
Avec une jolie fille,
Qui ne peut être que toi,
Rend notre petit train...
Tout plein d'entrain....

Notre petit train d'amour n'est que poésie....

Cette musique, c'est Jean-Marie Djibejian qui me l'a offerte et composé un jour , il l'avait intitulé : "Ballade pour Patricia"

Une musique que j'ai gardé précieusement sur mon PC depuis toutes ses années puisque c'était un cadeau, puis il y a quelques semaines , j'ai remarqué ce merveilleux poème de Victor Hugo sur la toile : L'âme en fleur" et je me suis dit : Pourquoi ne pas chanter ce magnifique poème sur la jolie musique que Jean-Marie m'avait offerte et voilà ce que ça donne , je vous en souhaite une bonne écoute et vous fait à tous de gros bisous

Chant , clip et mixage : Patricia D

Si vous n'avez rien à me dire

Pourquoi venir auprès de moi ?
Pourquoi me faire ce sourire
Qui tournerait la tête au roi ?
Si vous n'avez rien à me dire
Pourquoi venir auprès de moi ?

Si vous n'avez rien à m'apprendre
Pourquoi me pressez-vous la main?
Sur le rêve angélique et tendre,
Auquel vous songez en chemin,
Si vous n'avez rien à m'apprendre
Pourquoi me pressez-vous la main?

Si vous voulez que je m'en aille
Pourquoi passez-vous par ici ?
Lorsque je vous vois , je tressaille :
C'est ma joie et c'est mon souci.
Si vous voulez que je m'en aille
Pourquoi passez-vous par ici ?

Victor Hugo

Auteure : Automnale
Compositeur : Jean-Marie Djibedjian
Chant , clip et mixage : Patricia D

Je pourrais vous parler de l’enfance écorchée,
Du chemin aux ronciers et aux larmes cachées,
Des rêves accrochés aux étoiles filantes,
Aux fleurs de cerisiers que le vent désoriente.

Je pourrais vous parler d’un amour déchiré,
D’un regard atterré, d’un buvard assoiffé,
Du trèfle de l’herbier sans les feuilles d’espoir,
Et d’un oiseau sans ailes frissonnant dans le noir.

Mais je préfère chanter, de Noisy à Pantin,
Des Lilas à Bondy, parfois à Saint-Germain,
Au petit bal champêtre sur les pas de Musset,
Sur les bords du canal, jusqu’au Pré-Saint-Gervais.

Je n’ai pas de violon, ma chanson n’est pas triste.
J’aime me balader vers les carrières de gypse.
Du sommet d’une butte, je regarde les plâtres
Et reçois, en cadeau, des pétales d’albâtre.

Mes étés, je les passe aux jardins ouvriers,
A l’ombre d’un pommier et d’un vieil amandier.
La margelle d’un puits vaut bien une fontaine
Et chaque passerelle enjolive la Seine.

Mais je préfère chanter, de Noisy à Pantin,
Des Lilas à Bondy, parfois à Saint-Germain,
Au petit bal champêtre sur les pas de Musset,
Sur les bords du canal, jusqu’au Pré-Saint-Gervais.

Je pourrais vous parler d’un môme sans ballon,
Des cités délabrées et de la pollution,
De ce mur antibruit, d’étranges graffitis,
Œuvres d’art ou brouillards aux portes de Paris.

Je pourrais vous parler du fil de l’eau qui court,
D’un pauvre vagabond sur les rives de l’Ourcq,
D’un monde d’illusions, d’un air d’accordéon,
Et de ce marinier transportant son charbon.

Mais je préfère chanter, de Noisy à Pantin,
Des Lilas à Bondy, parfois à Saint-Germain,
Au petit bal champêtre sur les pas de Musset,
Sur les bords du canal, jusqu’au Pré-Saint-Gervais.

J’aurais pu vous parler de l’enfance écorchée,
D’un regard atterré, d’un buvard assoiffé,
D’un môme sans ballon, d’un air d’accordéon,
Et de ce marinier transportant son charbon.

Mais je préfère chanter, de Noisy à Pantin,
Des Lilas à Bondy, parfois à Saint-Germain,
Au petit bal champêtre sur les pas de Musset,
Sur les bords du canal, jusqu’au Pré-Saint-Gervais.

 Texte : André Leclercq

Musique : Jean-Marie Djibedjian
Chant et clip : Patricia D

En hommage à tous nos malades
qui comme André vivent l'indifférence
des gens.
Je lui ai proposé d'être sa voix
pour s'adresser au monde et à ses amis

Vous qui m avez connu avant
En quoi et pourquoi aujourd'hui
Vous me voyez si différent
Oui ! la maladie à agit.

Elle a fait en moi son lit
Je n’ y peux rien depuis longtemps       
C est malgré moi que je subis,
C est vrai que je suis plus lent

je vais plus doucement qu’avant
Mais je suis resté le même
J’ ai toujours les mêmes sentiments
je sais pour vous la vie est belle

Mais je n’ai surtout pas de haine
Je n'ai pour vous que des je t aime
Je veux les semer à tous vents
Vous êtes nos meilleurs remèdes

L Amour et bien sûr l’amitié
Sont nos meilleurs médicaments
Avec des joies et par millier
Et puis des peines évidemment

Laissez moi vous dire simplement
La vie était plus belle avant