Les textes de Jacques Mège
Le crépuscule d'une étoile
Texte écrit par Jacques Mège
Mis en musique par Julian Renan
Interprétation , clip et mixage : Patricia D
Je voulais être cette étoile
Qu’on voit briller au firmament
Courant de scènes en récitals
Vivant sa vie comme un roman
Aujourd’hui une autre m’égale
Elle me détrônera surement
C’est le revers de la médaille
Un peu le désenchantement
Comme un objet que l’on délaisse
A ranger au fond d’un tiroir
Je finirai dans une caisse
Au magasin des accessoires
Comme un obstacle qui se dresse
Au milieu du grand tintamarre
Le temps vous dit avec rudesse
Que le succès est provisoire
Derrière le rideau de brocard
On dirait la fin de la pièce
Je ne vois plus dans mon miroir
Que mélancolie et tristesse
Comme un objet que l’on délaisse
A ranger au fond d’un tiroir
Je finirai dans une caisse
Au magasin des accessoires
Quand les fantômes de la gloire
Quitte la scène, les jours baissent
Et les petits matins blafards
Ont comme une odeur de vieillesse
Et quand du fond de ma détresse
Je ferme mon livre d’histoire
Aucune couleur ne me reste,
C’est un roman en blanc et noir.
Comme un objet que l’on délaisse
A ranger au fond d’un tiroir
Je finirai dans une caisse
Au magasin des accessoires
Ecrit par Jakecrit
Tous droits réservés ©
Roses noires
Un texte de Jacques Mège
Mise en musique par Philippe Pelloille
Chant , clip et mixage : Patricia D
Tu m’as offert des roses noires
Pour tenter de me séduire
Tu voulais marquer ma mémoire
M’étonner, me retenir
Tu étais là devant moi
Je te sentais brûlant de fièvre
Mais tu ne pouvais pas
Sortir l’aveu de tes lèvres
J’espérais ardemment
Que c’était le bon soir
Mais au dernier moment
Tu m’as laissé en plan
Sur le trottoir
Une main qu’on caresse
Qu’on voudrait retenir
Souvenirs de jeunesse
J’ai peur de les voir partir
Dans les soirs de tristesse
J’ai des pensées qui tournent et virent
Souvenirs de jeunesse
Que je voudrais voir revenir
Quand je pense à ces roses noires
J’ai la raison qui chavire
Elles sont gravées dans ma mémoire
Regrets à n’en plus finir
Jamais tu n’aurai osé
Me murmurer ces mots : « je t’aime »
Mais le temps a passé
Tu me les a dis quand même
Et je revois tes yeux
Une flamme y brillait
Je vole dans les cieux
Tu me déshabillais
Rêve d’un soir