Musicalement Votre

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Les textes de Paul-François

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Danse avec moi

Auteur : ©Paul-François (15-10-2013)
Compositeur Julian Renan
Chant, clip et mixage : Patricia D

L’Arrière-saison qui projette dans mon âme
Des halos bleutés de l’aube à l’aurore du jour !
Je me souviens de ce chien qui avait une âme
Il fut mon automne, je l’appelais amour !

J’aime me promener sur les routes le soir,
Marcher auprès de lui quand le ciel s’enflamme !
Les parfums des lilas fuyaient ma vie, ce soir,
Et nos yeux dans nos yeux, entre chien et une dame !

C’est ma chanson d’amour
Celle de tous les jours,
Que je t’offre en émoi,
Pour une danse avec moi.

Sur ce sentier d’amour, quand les feuilles tomberont,
Nous les ramasserons, car il est triste d’aimer
Tous ceux, qui sous nos pas,  une journée, ont compté
Puis l’on contemplera ce ciel si vermillon !

Mon ami, mon amour, de toutes les couleurs
Celle que j’aime le plus, la couleur de tes yeux !
Et quand l’automne arrive, l’espoir que rien ne meurt
Dans mon cœur, et l’amour pour d’autr' rivag(es) heureux!

 

C’est ma chanson d’amour
Celle de tous les jours,
Que je t’offre en émoi,
Pour une danse avec moi.

Près de mon âtre en feu, rougeoie ton corps vieilli,
Oh Mon ami le chien, mon amour assidu !
Un jour tu t’es sauvé, et de pleurs j’ai faibli
Et te voilà parti, puis tu m’es revenu !

L’Arrière-saison qui projette dans mon âme
Celle que j’aime le plus, la couleur de tes yeux !
Je me souviens de ce chien qui avait une âme
Dans mon cœur, et l’amour pour d’autr' rivag(es) heureux !

 

C’est ma chanson d’amour
Celle de tous les jours,
Que je t’offre en émoi,
Pour une danse avec moi.



27/10/2024
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Dès demain les mains

Auteur : © Paul-François (le 13-02-2013)

Compositeur : Julian Renan

Chant, clip et mixage : Patricia D

 

Des mains pour parler
Des mains pour serrer,
Des mains à tenir de peur,
Des mains pour nos heures,

Des mains, rien que des mains,
A serrer, à tenir, à réconforter,
Des mains pour aimer des mains,
Des mains d’amour et pour la paix.

Des mains pour écrire,
Des mains en sourire,
Des mains pour demain
Des mains à mains.

Des mains, rien que des mains,
A serrer, à tenir, à réconforter,
Des mains pour aimer des mains,
Des mains d’amour et pour la paix.

Des mains pour je t’aime
Des mains pour caresser,
Des mains pour quand même,
Des mains pour nos étés.

Des mains, rien que des mains,
A serrer, à tenir, à réconforter,
Des mains pour aimer des mains,
Des mains d’amour et pour la paix.

Des mains dans les yeux,
Des mains, dans mes rêves,
Des mains pour Lisieux,
Des mains d’Adam et d’Eve.

Des mains, rien que des mains,
A serrer, à tenir, à réconforter,
Des mains pour aimer des mains,
Des mains d’amour et pour la paix.

 


25/02/2024
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Sur la grève Bretonne

 Auteur : Paul-François Carnet Pantiez

Compositeur :  Sylvestre Paris

 

Illustrations vidéo :

Créations numériques : H.T Félizé

Chant, clip et mixage : Patricia D

Merci à Eric pour le karaoké

 

Et sur la grève Bretonne,
Je contemple l’horizon,
Pour admirer sa splendeur,
Au ton des rouges vermillon,
Quand se dérobe en douceur,
Le soleil qui m’étonne !
 
Je dois l’attendre dès l’aube,
Lui confier tout mon amour,
Lui, mon compagnon de mes nuits,
La lune s’efface à mes jours,
Lui confier mon âme dès l’aube,
Et à toi, le soleil qui luit !
 
Face au vent, sur les falaises,
Je t’attendrai ô mon amour,
J’imagine les côtes Irlandaises,
Où nous pourrions partir un jour.
Si tu le voulais !
D’un oui si tu acceptais !
 

Et sur la grève Bretonne,
Je te rends un doux baiser,
Et cela parfois t’étonne
Quand je dessine d’un trait,
La forme d’un cœur tatoué,
A nos initiales gravées.
 
Et sur la grève Bretonne,
Je range mes souvenirs,
Et cela aussi t’étonne,
Entr’ nos plaisirs et nos rires,
La mélodie de mon chant,
Cette berceuse t’accompagnant !

 

Face au vent, sur les falaises,
Je t’attendrai ô mon amour,
J’imagine les côtes Irlandaises,
Où nous pourrions partir un jour.
Si tu le voulais !
D’un oui si tu acceptais !

 

Et sur la grève Bretonne,
Je scrute toujours l’horizon,
Et mon silence qui t’étonne,
De l’amour pour nos saisons,
Et la brise qui nous sourit,
Quand près de toi, d’une envie !
 
Je semble si adolescente,
Et de ta lumière si tentante,
J’ose te dire mon amour,
Toi, dans la lumière du jour,
Tu irradies en silence,
De toute ton élégance.

   

Face au vent, sur les falaises,
Je t’attendrai ô mon amour,
J’imagine les côtes Irlandaises,
Où nous pourrions partir un jour.
Si tu le voulais !
D’un oui si tu acceptais !
Je t’aime ô mon amour,
Je t’aimerai chaque jour.
 
©Paul-François Carnet Pantiez 18-10-2013

 


02/06/2022
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Solarisation

 

Auteur : Paul François Carnet Pantiez
Musique : Julian Renan
Chant clip et mixage : Patricia D


Sombre l’âme du moribond
Qui attend son tour et son heure.
Et claire, l’âme de l’enfant
Qui naît dans cette lueur.

Toutes les couleurs du monde,
Dansent dans ma douce ronde.
Pour toi, pour une tête blonde,
Et le soleil inonde le monde.

Un monde de couleur,
Sombre ou illuminé
Peu importe la couleur
Du moment qu’il y ait
Toujours notre été.

Sous la pénombre d’une lune,
Blanche, toi ma douce amie.
Avec l’océan et la brume
Mélange du bleu et du gris.

Le vert souriant des prés
Qui m’interpelle dans la journée,
Des buissons de genévriers
Aux parfums de nos étés.

Un monde de couleur,
Sombre ou illuminé
Peu importe la couleur
Du moment qu’il y ait
Toujours un ami à fêter.

Le prêtre en soutane noire,
Et l’âne est souvent gris,
La parole est souvent blanche
Et toi de quelle couleur es-tu ?

Le ciel avec toi si bleu,
Nos cœurs battent dans le rouge,
Un baiser envoyé à tes yeux
Vois-tu les couleurs qui bougent ?

Un monde de couleur,
Sombre ou illuminé
Peu importe la couleur
Du moment qu’il y ait
Toujours un être à aimer.

Un monde de couleur,
Sombre ou illuminé
Peu importe la couleur
Du moment qu’il y ait
Toujours un être à aimer.

Un monde de couleur,
Où je serai là pour t’aimer.


21/10/2020
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Le grand Ouest

Chanson de Paul-François

Mis en musique par Sylvestre Paris

Chant, clip et mixage : Patricia D

Peintures : Hubert-Tadéo Félizé

 

Le soleil, juste au-dessus, midi pointait,
Un ru se mourrait lentement dépeuplé,
Au travers de lointaines vallées encaissées,
La terre desséchée craquelait dans la journée ;

Juste un peu d’eau, aigre qui coulait au travers
Mes mains terreuses, insalubres, lugubres et noires,
La poussière voletait au-dessus du désert,
La soif était si prenante, chaude comme un soir.

 

Ils disent que l’Ouest est un territoire magnifique,
Onirique, et si lyrique, aux couchers de soleil,
Comme des étés aux peintures d’azur et de miel,
Et pourtant, rien de cela quand la mort vous pique !

 

Le ciel était clair, au milieu d’un endroit froid,
Froid et aride, vagabondait une broussaille,
Et la gorge déshydratée, comme prise en tenaille,
Piquait d’épingle, je me renversais droit,

Je tente de respirer l’air sec, j’étouffe, crache un peu de sang,
Quelle folie ai-je eu de vouloir quitter ma terre natale,
Verdoyante et ondulante sous l’air frais de mon camp,
Vous ne seriez pas captivé ici sur cette terre de crotale !

 

Ils disent que l’Ouest est un territoire magnifique,
Onirique, et si lyrique, aux couchers de soleil,
Comme des étés aux peintures d’azur et de miel,
Et pourtant, rien de cela quand la mort vous pique !

 

Le soleil, juste au-dessus, midi pointait,
Un ru se mourrait lentement dépeuplé,
Le soleil, juste au-dessus, midi pointait,
J’étais à moitié nu lentement je trépasserai.

Je tente de respirer l’air sec, crache un peu de sang,
Quelle folie ai-je eu de vouloir quitter ma terre natale,
Ondulante d’amour sous l’air frais de mon camp,
Vous ne seriez pas captivé ici sur cette terre de crotale !

 

Ils disent que l’Ouest est un territoire magnifique,
Onirique, et si lyrique, aux couchers de soleil,
Comme des étés aux peintures d’azur et de miel,
Et pourtant, rien de cela quand la mort vous pique !
 
Ils le pensent soleil et miel
© Paul-François 17-07-2014

 


01/10/2016
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