Des étoiles et des planètes
Auteur compositeur : Icare
Chant, clip et mixage : Patricia D
Merci Eric pour le Karaoké
La vie est belle, la vie est belle
Pourquoi ces gens sont si sérieux?
Où est la magie, l'étincelle
Qui se reflète dans la prunelle
De nos yeux?
Que vous êtes beaux, que vous êtes belles
Mesdames, mesdemoiselles, messieurs
Où avons-nous rangé ces ailes
Qui nous faisaient aimer le ciel
Et les bons dieux?
On dit que ce n'est qu'un mirage
Un désert qui promet la plage
Oh
Tout... là-haut
Là-haut, là-haut, je sais
Il n'y a pas
Que des étoiles et des planètes
Là-haut, là-haut
Alors, je vais
Remplir d'amour chacun de mes gestes
Et faire confiance au ciel
Pour tout le reste
Le monde est beau, le monde est beau
Moi, j'me noyais dans un verre d'eau
Jusqu'à m'en vouloir d'avoir cru
Seigneur, que je m'étais perdu
Trompé d'étage
Mais me voici sur le rivage
Oh... Oh... OhOh... Oh
Tous les déserts trouvent une plage
Oh
Tout... là-haut
Là-haut, là-haut, je sais
Il n'y a pas
Que des étoiles et des planètes
Là-haut, là-haut
Alors, je vais
Remplir d'amour chacun de mes gestes
Et faire confiance au ciel
Pour tout le reste
Une fleur qui meurt sème la vie
Je reste persuadé aussi
Comme on retourne à la terre, un jour
Qu'on reviendra tous à l'amour
Puisqu'on est né de lui
Puisqu'on est né de lui
Là-haut, là-haut
Puisqu'on est né de lui
Là-haut, là-haut
Puisqu'on est né de lui
Là-haut, là-haut
Puisqu'on est né de lui
Là-haut, là-haut, là-haut je sais
Il n'y a pas
Que des étoiles et des planètes
Là-haut, là-haut
Alors, je vais
Remplir d'amour chacun de mes gestes
J'ai confiance en vous
Pour tout le reste
Pourquoi faut-il que l'on s'use ?
Auteur(e) Patricia D & Suno AI
Musique : Suno AI
Chant, clip et mixage : Patricia D
Pourquoi faut-il que l’on s’use
À la chaîne ou dans la rue
Des heures qui s’échappent et s’accusent
D’un salaire qui s’épuise
On court après des rêves brisés
Sous des ciels gris et fatigués
Pendant qu’au sommet ils festoient
Sur nos efforts qu’ils ne voient pas
Pourquoi sommes-nous obligés
De porter ce poids sur nos dos
Quand d’autres se couchent sur des lingots
Et nous laissent à nos maux usés
Les jours s’empilent dans l’oubli
Le temps s’envole et nous trahit
Des vies données pour quelques miettes
Tandis qu’ils trinquent à nos défaites
Et si demain on brisait
Les chaînes qui nous retiennent
Si la lumière qu’on cherche en vain
S’allumait dans nos mains
Pourquoi sommes-nous obligés
De porter ce poids sur nos dos
Quand d’autres se couchent sur des lingots
Et nous laissent à nos maux usés
Coeur maladroit
Auteure , compositrice : Marine Delplace
Gagnante de la Star Académie 2024
Chant et mixage : Patricia D
J’ai grillé tous les stops
Trop de questions dans ma tête
J’aimerais me poser dans des bras qui m’enveloppent
Je passe toujours à côté, je les cherche en cachette
Dans mon horoscope
Moi, j’aimerais qu’on me dise
Mon avenir, qu’on me tease
Que des bonnes surprises
Et qu’on existe tous les deux
J’ai le cœur maladroit
J’ai pas le mode d’emploi
Pour réunir toi et moi
Mon amour et mon karma
Il paraît que ça viendra
S’il te plaît, m’en veux pas
J’ai le cœur maladroit
Je ne connais pas la suite
Et mon cœur bat si vite
Mon amour et mon karma
J’ai le cœur maladroit
Je suis plutôt raisonnable
Sauf quand je pète un câble
Merci pour les fleurs laissées sur la table
Et si je les abîme, c’est parce que j’ai le cœur
En zone inondable
Mais si jamais tu insistes
Je t’emmènerai sur la piste
Sans savoir danser
S’aimer n’est pas
Sans danger
J’ai le cœur maladroit
J’ai pas le mode d’emploi
Pour réunir toi et moi
Mon amour et mon karma
Il paraît que ça viendra
S’il te plaît, m’en veux pas
J’ai le cœur maladroit
Je ne connais pas la suite
Et mon cœur bat si vite
Mon amour et mon karma
J’ai le cœur maladroit
Et quand je pense avoir trouvé
Des bras qui pourraient m’envelopper
Ça commence à durer
Mais tout va recommencer
Il me disait
Auteur(e) : Patricia D & Suno AI
Musique : Suno AI
Chant, clip et mixage : Patricia D
Il me disait tu rêves trop haut
Les étoiles c'est pour les oiseaux
Les pieds sur terre c'est bien plus sûr
Le ciel est grand mais pas d'issue
Il me disait range tes envies
Les folies ça finit en cris
T'es pas ta mère t'es pas l'espoir
Juste une ombre dans mon miroir
Mais moi je danse sous les éclairs
Je défie l'ombre je prends l'air
Il me disait reste au foyer
J'ai pris mes ailes je suis partie
Il me disait t'es qu'une gamine
Les rêves ça finit en épines
Mais j'ai couru jusqu'à l'aurore
Cherchant l'écho d'un autre sort
Ses mots résonnent comme des éclats
Des chaînes qui serrent mais qui ne restent pas
J'ai brisé tout ce qu'il pensait
Et sous la lune j'ai tout laissé
Mais moi je danse sous les éclairs
Je défie l'ombre je prends l'air
Il me disait reste au foyer
J'ai pris mes ailes je suis partie
Le phare
Auteur : Gérard Salert
Compositeur et mixage : Patrice Pertuit
Chant et clip : Patricia D
Battu par les flots, tailladé en lambeaux
Usé par les eaux comme par les rouleaux
Trônant sur l’écueil où les courants se brisent
C’est un vrai titan qui combat leur emprise.
En pleine mer mais les pieds en terre,
Il a des valeurs bien élémentaires :
Miné, fouetté par l'onde et le vent
Son corps de granit brave tous les temps
Les pieds bien ancrés contre toute dérive
Bien seul il s'élève au milieu des eaux vives
Rêveur, Il observe et songe austèrement
Que ces mouvements ne sont rien que du vent
Pour garder son essence,
Il ne faut pas oublier ses origines
Et s’accorder aux tons
de chaque heure des jours de nos quatre saisons.
Quand chaque marée l’assaille de ses vagues
Qui sur lui déferlent, l'imprègnent et puis cascadent
Robuste, Il résiste à ces entrainements
Gardant sa prestance malgré les éléments.
Sous la cuirasse de cette carapace
Sa voix rocailleuse est un glas qui glace
Et pourtant sous ces graves atours
On flaire, on pressent la tendresse, l'amour :
Trônant sur l’écueil où les courants se brisent
C’est un vrai titan que rien ne tyrannise
Il est ce grand phare aiguillant les marins
Qui se sont perdus au chant des lamantins
Pour garder son essence,
Il ne faut pas oublier ses origines
Et s’accorder aux tons
de chaque heure des jours de nos quatre saisons.
C’est un vrai titan que rien ne tyrannise
Trônant sur l'écueil où les courants se brisent
Il est ce grand phare aiguillant les marins
Qui se sont perdus au chant des lamantins
Il est ce grand phare imposant, lumineux :
Le tremplin, la pause où l'albatros se pose
Pour hisser bien haut nos rêves dans ses cieux
Et qu'à leur zénith, sonnent l'apothéose