Allo , tu m'entends
Un p'tit clin d'oeil à Mireille
qui a posté cette chanson sur son Facebook
Chanson de Guy Béart ‧ 1965
Version Dalida
Chant et mixage : Patricia D
Merci Eric pour les instrumentaux et le karaoké
J'appelle dans le vide
Je t'appelle au milieu de ma nuit
Mes mots s'en vont rapides
Iront-ils jusqu'à toi aujourd'hui
Allo, Allo tu m'entends?
Est-ce qu'il fait beau temps?
Là-bas sous ton ciel
Ici, même sous la pluie, l'odeur me poursuit
D'un peu d'esterelle
Je suis dans la cabine enfermée dans la cage de verre
Et toi, je t'imagine dans un bar qui s'ouvre sur la mer
Allo, allo tu m'entends?
Comment vont Laurent, Jean-Luc et Joelle?
Dis-moi tes amis vont-ils toujours près des îles?
Pêcher les girelles
Ça nous fait deux unités
Chaque mot nous est compté
J'appelle sans relâche
Et pour moi dis que s'est-il passé
Qu'est-ce que ta voix me cache?
Avec qui ce soir vas-tu danser?
Allo, allo tu m'entends?
Est-ce que tu m'attends?
Ta bouche où est-elle?
Allo, tu parles trop bas
Seras-tu là-bas si je te rappelle?
Il faut que je te quitte
D'autres gens s'impatientent dehors
Et je t'ai parlé trop vite
Je ne t'ai presque rien dit encore
Allo, allo tu m'entends?
Dehors on attend les gens sont pressés
Dans cette course de fous
Le monde se fout d'un amour cassé
Ça nous fait quatre unités
Je ne veux pas te quitter
Ici tu es chez toi
Texte : Patricia D & Suno AI
Musique : Suno AI
Chant, clip et mixage : Patricia D
Sur les pavés luisants de pluie
Des sourires brillent dans la nuit,
Les mains tendues comme une lumière,
Effacent la peine tout entière...
Les cafés chantent des mots si doux,
Les rires dansent devant nous,
Chaque regard est une promesse,
Chaque silence une caresse...
Le vent du nord porte nos chansons,
Des mélodies pleines de raison,
Nos cœurs battent à l'unisson,
Ici tu es chez toi maintenant...
Quand le soleil caresse les toits,
Les rues s'éveillent sous nos doigts,
Les pas légers comme des plumes,
Écrivent l'amour sur les brumes...
Les cafés chantent des mots si doux,
Les rires dansent devant nous,
Chaque regard est une promesse ,
Chaque silence une caresse...
Le vent du nord porte nos chansons
Des mélodies pleines de raison
Nos cœurs battent à l'unisson
Ici tu es chez toi maintenant ...
Le vent du nord porte nos chansons,
Des mélodies pleines de raison,
Nos cœurs battent à l'unisson,
Ici tu es chez toi maintenant...
Pourquoi tu restes
Artiste : Amel Bent
Chant, clip et mixage : Patricia D
Pourquoi tu restes
T'as bien retourné ta veste
Tu m'dis même plus « je t'aime »
Ça s'voit que tu me détestes
Alors pourquoi tu restes
Pourquoi tu restes
Elles sont loin tes promesses
Et si c'est pour les enfants
T'inquiète, ils sont déjà grands
Si c'est pour eux qu'tu restes
Je m'demande où ça nous mène
J'apprends chaque jour à faire sans toi
Mais t'es là
Dis-moi, pourquoi tu restes
Si t'étais vraiment honnête
Tu m'dirais « j'suis pas heureux »
Vaut mieux s'arrêter, nous deux
Mon amour, t'es plus amoureux
Pourquoi tu restes
Tu vois bien que ça me blesse
Faire semblant d'aller mieux
Mais c'est la fin du jeu
Mon amour, t'es plus amoureux
Pourquoi tu restes
Pourquoi tu restes
Pour mieux me laisser peut-être
On se croise dans les couloirs
Comme dans un hall de gare
T'attends le temps que je reste
Je m'demande où ça nous mène
J'apprends chaque jour à faire sans toi
Et t'es là
Dis-moi, pourquoi tu restes
Si t'étais vraiment honnête
Tu m'dirais « j'suis pas heureux »
Vaut mieux s'arrêter, nous deux
Mon amour, t'es plus amoureux
Pourquoi tu restes
Tu vois bien que ça me blesse
Faire semblant d'aller mieux
Mais c'est la fin du jeu
Mon amour, t'es plus amoureux
Pourquoi tu restes
Pourquoi tu restes
Pourquoi tu restes
Des étoiles et des planètes
Auteur compositeur : Icare
Chant, clip et mixage : Patricia D
Merci Eric pour le Karaoké
La vie est belle, la vie est belle
Pourquoi ces gens sont si sérieux?
Où est la magie, l'étincelle
Qui se reflète dans la prunelle
De nos yeux?
Que vous êtes beaux, que vous êtes belles
Mesdames, mesdemoiselles, messieurs
Où avons-nous rangé ces ailes
Qui nous faisaient aimer le ciel
Et les bons dieux?
On dit que ce n'est qu'un mirage
Un désert qui promet la plage
Oh
Tout... là-haut
Là-haut, là-haut, je sais
Il n'y a pas
Que des étoiles et des planètes
Là-haut, là-haut
Alors, je vais
Remplir d'amour chacun de mes gestes
Et faire confiance au ciel
Pour tout le reste
Le monde est beau, le monde est beau
Moi, j'me noyais dans un verre d'eau
Jusqu'à m'en vouloir d'avoir cru
Seigneur, que je m'étais perdu
Trompé d'étage
Mais me voici sur le rivage
Oh... Oh... OhOh... Oh
Tous les déserts trouvent une plage
Oh
Tout... là-haut
Là-haut, là-haut, je sais
Il n'y a pas
Que des étoiles et des planètes
Là-haut, là-haut
Alors, je vais
Remplir d'amour chacun de mes gestes
Et faire confiance au ciel
Pour tout le reste
Une fleur qui meurt sème la vie
Je reste persuadé aussi
Comme on retourne à la terre, un jour
Qu'on reviendra tous à l'amour
Puisqu'on est né de lui
Puisqu'on est né de lui
Là-haut, là-haut
Puisqu'on est né de lui
Là-haut, là-haut
Puisqu'on est né de lui
Là-haut, là-haut
Puisqu'on est né de lui
Là-haut, là-haut, là-haut je sais
Il n'y a pas
Que des étoiles et des planètes
Là-haut, là-haut
Alors, je vais
Remplir d'amour chacun de mes gestes
J'ai confiance en vous
Pour tout le reste
Pourquoi faut-il que l'on s'use ?
Auteur(e) Patricia D & Suno AI
Musique : Suno AI
Chant, clip et mixage : Patricia D
Pourquoi faut-il que l’on s’use
À la chaîne ou dans la rue
Des heures qui s’échappent et s’accusent
D’un salaire qui s’épuise
On court après des rêves brisés
Sous des ciels gris et fatigués
Pendant qu’au sommet ils festoient
Sur nos efforts qu’ils ne voient pas
Pourquoi sommes-nous obligés
De porter ce poids sur nos dos
Quand d’autres se couchent sur des lingots
Et nous laissent à nos maux usés
Les jours s’empilent dans l’oubli
Le temps s’envole et nous trahit
Des vies données pour quelques miettes
Tandis qu’ils trinquent à nos défaites
Et si demain on brisait
Les chaînes qui nous retiennent
Si la lumière qu’on cherche en vain
S’allumait dans nos mains
Pourquoi sommes-nous obligés
De porter ce poids sur nos dos
Quand d’autres se couchent sur des lingots
Et nous laissent à nos maux usés