Je suis dans mon étoile
Paroles : Jean-Marie FILLION
Musique : Alain AUBRY
Chant, clip et mixage : Patricia D
Oeuvre protégée par la SACEM
Le 11 janvier 2004 (Paroles)
Et le 28 juin 2005 (Paroles et Musique)
Je marchais au clair de lune
Le jour éclairait ma tête
Dans mes rêves d'infortune
Je les voyais faire la fête
Et danser sous la lumière
Sous un océan de joie
Comme portée dans l'univers
Mais je ne pense qu'à toi
Je suis dans mon étoile
Perdue dans les nuages
Il n'y a pas d'hiver
Et je suis heureuse
Je suis dans mon étoile
Tout au fond de tes yeux
Et ça me réchauffe
Le coeur et tout le corps
Je suis dans mon étoile
Jusqu'à la fin des temps
Mais au bout d'ce voyage
C'est le jour qui m'réveille
Comme un rayon de soleil
Ce joli feu d'artifice
Qui ne remplit pas le ciel
Dans cette nuit en plein jour
Mais si tu parles quand on chante
Comment veux-tu qu'on comprenne
Ce qu'ils disent quand on danse
Arrête donc un instant
Le crépuscule d'une étoile
Texte écrit par Jacques Mège
Mis en musique par Julian Renan
Interprétation , clip et mixage : Patricia D
Je voulais être cette étoile
Qu’on voit briller au firmament
Courant de scènes en récitals
Vivant sa vie comme un roman
Aujourd’hui une autre m’égale
Elle me détrônera surement
C’est le revers de la médaille
Un peu le désenchantement
Comme un objet que l’on délaisse
A ranger au fond d’un tiroir
Je finirai dans une caisse
Au magasin des accessoires
Comme un obstacle qui se dresse
Au milieu du grand tintamarre
Le temps vous dit avec rudesse
Que le succès est provisoire
Derrière le rideau de brocard
On dirait la fin de la pièce
Je ne vois plus dans mon miroir
Que mélancolie et tristesse
Comme un objet que l’on délaisse
A ranger au fond d’un tiroir
Je finirai dans une caisse
Au magasin des accessoires
Quand les fantômes de la gloire
Quitte la scène, les jours baissent
Et les petits matins blafards
Ont comme une odeur de vieillesse
Et quand du fond de ma détresse
Je ferme mon livre d’histoire
Aucune couleur ne me reste,
C’est un roman en blanc et noir.
Comme un objet que l’on délaisse
A ranger au fond d’un tiroir
Je finirai dans une caisse
Au magasin des accessoires
Ecrit par Jakecrit
Tous droits réservés ©
Ma faute
Auteure compositrice : Marine
Chant, clip et mixage : Patricia D
Merci Eric pour l'instrumental
Ton verre est plein
Est-ce encore de ma faute?
Si tu le vides, ce le sera sans faute
J'ai trébuché sous le poids de tes mots
Mais relevée
Tout ne sonne pas si faux, c'est faux
Quand j'ai crié à l'aide
Tu m'as dit "C'est ta faute"
Pleurer à perdre haleine
Tu m'as dit "C'est ta faute"
Et tu m'as dit "Je t'aime"
Ça, c'était bien ma faute
La nuit est calme sans le son de ta voix
Si tu la hausses
Ça ne sera que sur moi
Je reste seule
Assise avec mes larmes
Celles qui restent après tout le vacarme
Quand j'ai crié à l'aide
Tu m'as dit "C'est ta faute"
Pleurer à perdre haleine
Tu m'as dit "C'est ta faute"
Et tu m'as dit "Je t'aime"
Ça, c'était bien ma faute
Parfois je n'te reconnais même pas
J'entends le bruit sans entendre ta voix
Tu vois je t'aime malgré tout ça
Oh .... oh
Et maintenant je sais que c'est pas moi
Pourtant je suis tombée si bas ...
Avec toi je n'm'aimais pas oh oh ...
Quand j'ai crié à l'aide
Tu m'as dit "C'est ta faute"
Pleurer à perdre haleine
Tu m'as dit "C'est ta faute"
Et tu m'as dit "Je t'aime"
Ça, c'était bien ma faute
Crier à l'aide
À perdre haleine
Tu m'as dit "C'est ta faute"
Crier à l'aide
À perdre haleine
Tu m'as dit "C'est ta faute"
Tu m'as fait perdre celle que je pensais si forte
Mais l'averse est passée
Quand j'ai claqué la porte
Sans toi, beaux jours reviennent
Ce sera plus jamais ma faute
Fleur de chair
Auteure : Marie Lacroix
Musique : Jean-Marie Djibedjian
Interprétation, clip et mixage : Patricia D
Quand je dévisse à fleur de chair,
Pour mieux sublimer les naufrages
De ce parfum flottant dans l’air,
Tes doigts modulent mes voyages.
Pour mieux sublimer les naufrages
Au creux de l’immense océan,
Tes doigts modulent mes voyages,
Cognant mes seins face au néant.
Au creux de l'immense océan,
Le roulis tangue et se déchire,
Cognant mes seins face au néant
À l'heure où le désir chavire.
Le roulis tangue et se déchire
Pour se noyer dans ton regard,
À l'heure où le désir chavire
Cueillant de somptueux hasards.
Pour se noyer dans ton regard,
La symphonie se déshabille,
Cueillant de somptueux hasards
Qui sur mon ventre s'éparpillent.
La symphonie se déshabille
Ivre de rites en émoi,
Qui sur mon ventre s'éparpillent
Avec des accents de hautbois.
Ivre de rites en émoi,
Se mêle au souffle de ta bouche
Avec des accents de hautbois,
Toute l'alchimie de ma couche.
Se mêle au souffle de ta bouche
Sur la magie du chiffre pair,
Toute l'alchimie de ma couche,
Quand je dévisse à fleur de chair.
La pauvre fleur
Auteur : Victor Hugo (1802 - 1885)
Musique : Suno AI ( Intelligence artificielle )
Chant et clip : Patricia D
Merci Eric pour m'avoir arrangé l'instrumental et pour le mixage
La pauvre fleur disait au papillon céleste
— Ne fuis pas !
Vois comme nos destins sont différents. Je reste,
Tu t'en vas !
Pourtant nous nous aimons, nous vivons sans les hommes
Et loin d'eux,
Et nous nous ressemblons, et l'on dit que nous sommes
Fleurs tous deux !
Mais, hélas ! l'air t'emporte et la terre m'enchaîne.
Sort cruel !
Je voudrais embaumer ton vol de mon haleine
Dans le ciel !
Mais non, tu vas trop loin ! — Parmi des fleurs sans nombre
Vous fuyez,
Et moi je reste seule à voir tourner mon ombre
À mes pieds !
Tu fuis, puis tu reviens, puis tu t'en vas encore
Luire ailleurs.
Aussi me trouves-tu toujours à chaque aurore
Toute en pleurs !
Oh ! pour que notre amour coule des jours fidèles,
Ô mon roi,
Prends comme moi racine, ou donne-moi des ailes
Comme à toi !