Mes interprétations
Pour le plaisir de créer et de chanter sur vos chansons
Le gai Luron
Texte : Thierry Montgaillard alias Timilo
Musique : Jean-Marie Djibedjian
Interprétation et clip : Patricia D
De tous les gens mal connus de mon village,
Il est le gai luron qui ne fait pas son âge,
Dissipant sa vie dans l'alcool et le tabac,
Les quelques euros d'un reliquat de RSA..
Il cherche l'oubli dans la boisson fermentée
Ce vulgaire plaisir pour certains qu'est l'ébriété,
Ses souliers sont usés, ses habits disparates,
Son nez est rubicond sur sa mine écarlate...
Poète plus philosophe quand il boit,
Car il aime réciter quelques vers en patois,
D'une voix de ténor, il les chante souvent,
L'allure incertaine, les yeux ronds et luisants.
Le temps ne fait que passer, il fait froid dehors,
Même si le sol vacille, il chante encore,
Souvent au café je retrouve quelques amis,
Lui est toujours là et toujours il me sourit,
Accoudé au comptoir près d'un verre demi-vide,
La lèvre violacée par un anis liquide,
Je vois toujours en ce doux énergumène,
Nos jeunes années, passer en une courte scène..
Je n'ai jamais eu pour lui un sourire narquois,
J'apprécie quand il chante un vieil air patois,
Il fait parti de la mémoire du lieu,
Non, jamais je ne voudrais lui dire ADIEU...
La perle des Vosges
Un texte de Jacqueline Labeyrie
Mis en musique par Julian Renan
Chant , clip et mixage : Patricia D
Un petit cadeau pour notre ami Patrick Denys
Se balader au bord du lac
Qu’entourent forêts et montagnes
Puis s’arrêter , poser son sac
Les yeux rivés sur la montagne
Faire un p’tit tour de pédalo
Et découvrir cette merveille
Puis revenir au bord de l’eau
Pour une baignade , la vie est belle !
Gérardmer , perle des Vosges
Gérardmer , entre lacs et forêts
La vie est belle à Gérardmer
Les amoureux de la nature
Distillent les charmes de la vallée
Gouttent à cet écrin de verdure
Et quand l’hiver est de retour
Le domaine de la Mauselaine
Donne rendez-vous pour un séjour
« skier au cœur de la Lorraine »
Gérardmer , perle des Vosges
Gérardmer , entre lacs et forêts
Au milieu des forêts d’sapins
Pour respirer l’air pur des Vosges
Se défouler sur les chemins
Et oublier un peu l’horloge
Quand le printemps montre son nez
Et que fleurissent les jonquilles
Les chars prêts pour le défilé
Paradent un à un dans la ville
Gérardmer , perle des Vosges
Gérardmer , entre lacs et forêts
Fête des jonquilles à Gérardmer
Belle fleur jaune de la Lorraine
Toutes les rues se sont parées
Pour fêter cette belle reine
Copyright n°00051806
Chante avec moi jeunesse
Texte : Patrice Merelle
Musique : Sylvestre Paris
Chant et clip : Patricia D
Mixage : Bernard Palais
Si le couchant du soleil
Avait la couleur du miel
Tu pourrais imaginer
L’enfance et ma liberté.
Si la rivière qui coule
Dans les prairies, inonde
Les blés qui remuent en foule
Au gré du vent de notre monde.
Si tu veux venir avec moi
Conserver ta jeunesse,
Et obtenir un nouvel émoi,
Alors chante et mets toi à l’aise.
Contempler d’un regard,
La nature et son essor,
Contempler juste du regard
Ai-je raison ou ai-je tort ?
Ne plus s’en faire un moment,
D’une évasion avec le vent,
Viens avec moi, oublie tout,
La main autour de mon cou.
Si tu veux venir avec moi
Conserver ta jeunesse,
Et obtenir un nouvel émoi,
Alors chante et mets toi à l’aise.
Viens avec moi sur cette terre,
Qui nous a vu naitre, juste marcher,
Regarder un groupe de faisan s’envoler,
Et comme Diogène, juste errer dans cette ère,
Contempler d’un regard,
La nature et son essor,
Contempler juste du regard
Ai-je raison ou ai-je tort ?
Si tu veux venir avec moi
Conserver ta jeunesse,
Et obtenir un nouvel émoi,
Alors chante et mets toi à l’aise.
Écume des jours
Paroles : Patrice Merelle
Musique : Sylvestre Paris
Chant : Patricia D
Mixage : Bernard Palais
Illustration vidéo : Félizé Hubert Tadéo
Création vidéo : Patricia D
Fini le temps de regretter
Et les larmes séchées
Par un soleil de fierté
Et des mouchoirs mouillés.
Tu marches sur une route poisseuse
Ton destin scellé, comme si tout était tracé
Suivre la piste d’une empoisonneuse
Vendant son venin d’herbacé.
Tu retourneras dans une spirale
Sabra cadabra, infernale
En dilettante, tournoyant
Comme un oiseau au gré du vent
Dépression des centaines de fois
A chaque fois salué par des rois
Ce que tu as vécu, tout le monde
L’a vécu dans une autre ronde
Faire fi des maux
Et les remplacer
Par des mots
Juste discuter
Tu es là, tu es venu
Veux-tu en déférer ?
Ton destin est tout tracé
Et pose ton cœur à nu
La vie est comme un jeu de dé pipé
Ton cœur saigne, et les traces laissées
Par les coups de griffes acérées
Ne se sont jamais cicatrisées !
Tu es comme une pièce de monnaie
Qui file sur le trottoir vers sa chute
Dans le caniveau, emporté
Par le ruissellement de l’eau, sans aucune lutte.
Fini le temps des fiertés
Et les larmes asséchées
Ont fini par laisser
Des traces non cicatrisées.
Mes doutes
Texte : Jacqueline Labeyrie
Musique et mixage : Bernard Palais
Duo : Bernard & Patricia D
Clip : Patricia D
C’est toujours la même chanson
Elle ne varie pas d’un son
Je ne vais pas y arriver
C’est vraiment trop compliqué
C’est trop haut ou c’est trop bas
Ce n’est vraiment pas pour moi
Je n’y crois pas un instant
Même en travaillant longtemps
Quand j’envoie ce que j’ai fait
Je ne crois pas au succès
Est-ce qu’ils vont vraiment aimer
Est-ce que je me fais des idées
Pourquoi s’installe le doute ?
A chaque instant sur ma route
Ça me gâche mon plaisir
Je ne vais pas vous mentir
J’ai toujours la peur au ventre
Cette crainte me déconcentre
Et m’empêche de profiter
De ce moment espéré
Quand j’envoie ce que j’ai fait
Je ne crois pas au succès
Est-ce qu’ils vont vraiment aimer
Est-ce que je me fais des idées
J’ai bien peur que cela dure
Ce sort m’aura à l’usure
Je voudrais bien tout changer
Et devenir détachée
Mais c’est dans mon caractère
Je suis une aventurière
Et aussi une guerrière
Pas de retour en arrière
Quand j’envoie ce que j’ai fait
Je ne crois pas au succès
Est-ce qu’ils vont vraiment aimer
Est-ce que je me fais des idées