Musicalement Votre

Version féminine

Auteur : Michel Teston

Musique : Julian Renan

Chant , clip et mixage : Patricia D

J'étais seule dans la foule, errant’ mélancolique
Quand je le vis soudain, debout me regardant
Il était si beau gars et ses yeux si ardents
Que je crus alors vivre un rêve chimérique..

Tout comme un cavalier à la sauvage allure
Il était fascinant: il était là si près
Et pourtant si lointain! Par les bois ou les prés
J'eusse aimé qu’il touchât ma noire chevelure !

Il eût dû m’amener sous les arbres profonds
Et là, joue contre joue, les bras sur ses épaules
Nous aurions échangé des langages frivoles
Au risque de chuter dans un monde sans fonds...

Comme pendant l’été une bise légère
Vous frôle doucement lorsque tombe le soir
Son ombre m’effleura et mourut dans le noir...
A quand la reverrai-je, ô l’ombre passagère ?

O que ce qui est beau est difficile à voir !
Où donc s’en est allé le garçon si joli
Qui m’apporte le soir de la mélancolie
Et lorsque point le jour une raison d’espoir ?

O que ce qui est beau est difficile à voir !
Où donc s’en est allé le garçon si joli
Qui m’apporte le soir de la mélancolie
Et lorsque point le jour une raison d’espoir ?

Auteur : Michel Teston
Musique : Jean-Marie Djibedjian
Chant clip et mixage : Patricia D

Très bonne année 2024 Gros bisous

Ah! te souviens-tu, mon amour
Des nuits que parfois nous passions
Pour assouvir notre passion
Près de la mer quand meurt le jour ?

On était bien près de la plage
Dans la beauté et l'innocence
Mais cette mer, quelle puissance
Elle écumait pleine de rage.

Souvenir, souvenir heureux
Et souvenir inoubliable
Et souvenir insatiable :
Le souvenir des amoureux
         
Te souviens-tu de ce voyage
Où on s'en fut près de la mer ?
Elle écumait toujours de rage
En giflant les rochers amers.
 
Quand le soleil nous réchauffait
Comme on s'aimait, t'en souviens-tu?
Jamais l'amour en nous s'est tu
Et nous en sommes stupéfaits.
 
Souvenir, souvenir heureux
Et souvenir inoubliable
Et souvenir insatiable :
     Le souvenir des amoureux.    

Auteur : Michel Teston
Compositeur : Jean-Marie Djibedjian
Chant , clip et mixage : Patricia D

Tu trouveras la mer derrière la colline
La mer, la vaste mer, paisible de tes rêves
Ou la mer agitée écumant sur la grève
Mais tu vas vers la mer aux vagues argentines.

Voici que maintenant devant toi se présente
La croisée des chemins à ton âme impatiente
Pour choisir le chemin te voilà hésitant
Aurais-tu maintenant peur de ce qui t'attend ?

Mais non! n'hésite pas, tout cela est stupide
Va, poursuis ton chemin et marche d'un bon pas
Si tu vas vers la mer surtout n'hésite pas :
Saute le mur pour le Jardin des Hespérides...

Sache que si tu veux un jour revoir la mer
La mer de ton enfance et la mer de tes rêves
Il te faudra parfois marcher à découvert
Pour retrouver ce flot qui commence ou s'achève.  (bis)

 

Sur un texte de Michel Teston mis en musique par Jean-Marie Djibedjian

La nuit s'achève, ô mon amour
La liberté viendra ce jour
Elle viendra avec l'aurore
Tu la verras encore, encore.
 
Fini de subir les ténèbres
Où tu ne marchais qu'à tâtons
Et bien finies les nuits funèbres...
Mais pour ce jour, qu'en dira-t-on?
 
Sera-ce un beau jour de printemps?
Petit soleil, petit nuage
Et petite vie d'esclavage
Cependant que passe le temps?
 
Ou bien peut-être un jour d'hiver
Cet hiver que tout homme abhorre
Effrayant, mortel, incolore
Du gris, du blanc et plus de vert?
 
Peut-être encore un jour d'automne
Plein d'émotions et de beauté
Où on ne fait que sangloter
Et où on ne voit plus personne?
 
Non! ce sera un jour d'été
Un jour de soleil et d'orage
Apocalypse et liberté
Pour mettre fin à l'esclavage...
 
La nuit s'achève, ô mon amour
La liberté sera l'aurore
Voici le monde de toujours
C'est du bonheur, encore, encore!

Michel Teston

 Auteur : Michel Teston

Compositeur : Julian Renan

Chant, clip et mixage Patricia D

Je suis allée au bout du monde
Je suis allée jusqu'à la mer
Je voulais sortir, prendre l'air
Vivre ma vie de vagabonde

Pas une voile à l'horizon
Pas un phare dans la nuit noire
Et pourtant, j'aurais voulu croire
A l'amour, loin de ma maison.

Ah! je voudrais partir, partir
Partir pour fuir ma solitude
En toi finit la turpitude
Tu es l'endroit où aboutir.

Même là où finit la terre
La mer, elle, ne finit pas
Et le vent efface mes pas
Quand je marche dans la poussière.

Où pourrais-je trouver: soleil
Chaleur, beauté, lumière, amour?
Et toi que je cherche toujours,
L'ami et l'amour sans pareil?

Ah! je voudrais partir, partir
Partir pour fuir ma solitude
En toi finit la turpitude
Tu es l'endroit où aboutir.

Ne verrais-je que la mer plate,
La mer et le ciel toujours bleus?
Ou la mer noire quand il pleut?
Jamais de main sur mon front moite?

Non! je préfère une autre terre
Non! je veux pas de ce pays
Je pars ailleurs bien loin d'ici
Où je te trouverai, mon frère.
 
Ah! je voudrais partir, partir
Partir pour fuir ma solitude
En toi finit la turpitude
Tu es l'endroit où aboutir.