A l'océan
Paroles : Patrice Merelle
Musique : Sylvestre Paris
Chant , clip et mixage : Patricia D
Illustration vidéo : Hubert-Tadéo Félizé
Des nuages, n’épousent-ils pas du rêve,
Quand l’écume, par les vents, se lève,
Et l’algue vainqueur part à la conquête
D’une plage tranquille, à la grève défaite.
D’une étoile que l’on contemple dans le sextant,
Comme une étoile filante sur Broadway,
D’une étoile a jeté un sort sur l’océan,
Comme une épave qui dérive, abandonnée.
Des nuages, n’épousent-ils pas du rêve,
Quand l’écume, par les vents, se lève,
Et l’algue vainqueur part à la conquête
D’une plage tranquille, à la grève défaite.
Je t’attends sur l’océan de mes désirs, une île,
Et mon esprit à ton regard captif se voile,
Je suis l’âme vagabonde et tranquille,
Qui se dévoile pour le cœur d’une étoile.
Des nuages, n’épousent-ils pas du rêve,
Quand l’écume, par les vents, se lève,
Et l’algue vainqueur part à la conquête
D’une plage tranquille, à la grève défaite.
Tu es là, engendrée de la nuit, mon aurore,
C’est peut être les lois d’attractions de l’amour,
Quand tu sors du néant, et que tu fasses éclore,
Un chant ! Ce chant merveilleux dans nos jours.
Des nuages, n’épousent-ils pas du rêve,
Quand l’écume, par les vents, se lève,
Et l’algue vainqueur part à la conquête
D’une plage tranquille, à la grève défaite.
Embruns sur les grèves, chocs des titans,
Aux courroux des vagues majestueuses
Sur mon récif, sur mon corps, ah l’océan !
Oh, viens ! Emmène-moi, ô bienheureuse.
© Patrice Merelle 01-03-2014
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