Le coucou
Texte : Gérard Salert
Musique et clip : Patrick Moltado
Chant : Patricia D
Mixage : Bernard Palais
Il existe de drôles d’oiseaux
Qui loin de vous faire froid
Ho mais froid dans le dos
Vous allument comme un fin sarment
D’une œillade et d’un gros ….
Un très beau compliment
Ils sav’nt simuler l’amour fou
Attentionnés comm’ tout:
Telle la ruse d’un loup
Ces beaux nounours aux poils si doux
Semblent comm des peluches
Être parfaits de bout en bout.
Coucou, coucou, mon beau coucou
Pour que tu me « pêcho » Il faut t’ lever plus tôt
Coucou, Coucou, mon beau coucou
Et c’est pas de sitôt que tu feras mon corps beau
Coucou, coucou, mon beau coucou
T’as beau avoir l’bel âge , et montrai ton plumage
Coucou, Coucou, mon beau coucou
Le renard gigolo ne « tombera » pas l’ corps beau
Coucou, bonjour coucou aigris !
T’en ai tu aguerris ?
Depuis l’ temps que tu m’épies ?
Mon nid te donn’ bien des envies
Pour te reposer las
Et être sans soucis.
Coucou, bonjour, je te vois cool
Tu m’invites a la danse.
Pour m’ griser d’tes avances
Quand tu parad’s, tu roucoules
Dans ta cour plein’ d’ prév’nances .
Moi saches que ça me saoule !!!
Coucou, Coucou, mon beau coucou
Pour que tu me séduises , il faudra t’ lever tôt
Coucou, Coucou, mon beau coucou
Ce n’est pas de sitôt que t’auras mon nid chaud.
Coucou, coucou, mon beau coucou
Malgré tous tes ramages et ton bien beau plumage
Coucou, Coucou, mon beau coucou
C'est pas un gigolo qui m’ grugera de sitôt
Coucou, bonjour, t’es aussi beau
Pas aussi méprisable
Qu’ le renard de cette fable
Et je suis pas comm ‘ le corbeau
Pour croire à tes égards
Tes grands airs affables.
-Ton bel habit à longue queue
Et ton roux prétentieux
Cache bien ton ventre creux
Et bien triste sir’ sans figure .
Tu ne saurais mêm’ pas
Me payer en nature!
Coucou, coucou, mon beau coucou
Pour que tu me « pêcho » Il faut t’ lever plus tôt
Coucou, Coucou, mon beau coucou
Et c’est pas de sitôt que tu « mont’ra » l’ corps beau
Coucou, coucou, mon beau coucou
T’as beau avoir l’bel âge , et montrai ton plumage.
Coucou, Coucou, mon beau coucou
Le renard gigolo ne « mange’ra » pas l’ corps beau
Il existe de drôl’s d’oiseaux
Qui vous jett’nt un froid
Un grand froid dans le dos
Quand ceux-là investissent votre nid
Il le fouille sans répis
Le vide petit à p’tit.
Coucou, ils vous saluent bien sûr !
Mais de rien , je vous l’ dit
ni d’eux même ils s’assurent
Prenez vit’ vos jamb’s à votr’ cou
Car l’ gigolo galant
Sur, ne vaut pas un clou !
Coucou, Coucou, mon beau coucou
Pour que tu me séduises , il faudra t’ lever tôt
Coucou, Coucou, mon beau coucou
Ce n’est pas de sitôt que t’auras mon nid chaud.
Coucou, coucou, mon beau coucou
Malgré tous tes ramages et ton bien beau plumage
Coucou, Coucou, mon beau coucou
C'est pas un gigolo qui m’ « prendra » de sitôt
Coucou, coucou, mon beau coucou
Pour que tu me « pêcho» Il faut t’ lever plus tôt
Coucou, Coucou, mon beau coucou
Et c’est pas de sitôt que tu « t’ fera » mon corps beau
Coucou, coucou, mon beau coucou
T’as beau avoir l’bel âge, et montrai ton plumage.
Coucou, Coucou, mon beau coucou
Le renard gigolo ne « montera » pas l’ corps beau
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