Musicalement Votre

Auteur compositeur : Jean Vallée

Chant, clip et mixage : Patricia D

Merci Eric de m'avoir proposé cette chanson et pour l'instrumental

Dire qu'il ne pleut même pas
Que c'est un beau soir d'été
Plein de parfums lilas,
Un soir pour se comprendre,
Pour se reprendre,

Dire que les gosses en bas
Continuent à jouer
Sans entendre l'echo
De ce désastre
Deux cœurs qui craquent

Dire que demain déjà
Je vais perdre ou gagner
Pour plus personne
Et ça fera tout con tout comme
Les retours d'automne

Aïe aïe aïe
Mais qu'est-ce que tu m'fais là ?
Tu délires ou quoi ?
Ma tête est folle,
j'crois qu'tu t'envoles
Tu t'en vas,
Me dis pas qu'tu t'en vas
Oh, tu t'en vas
Me dis pas qu'tu t'en vas

Des souvenirs en vrac
Dans ce mélo à mourir
Où on la joue flashback
Le style prend des images
Pour le voyage

T'emportes avec tes jeans
Les mots qui m'ont fait rire
Est-ce que tu t'imagines
Comment je vais survivre
A la fin du livre

Aïe, aïe, aïe
Mais qu'est-ce que tu m'fais là ?
Tu délires ou quoi ?
Ma tête est folle
J'crois qu'tu t'envoles
Tu t'en vas
Me dis pas qu'tu t'en vas
Non, tu t'en vas
Me dis pas qu'tu t'en vas
Oh, tu t'en vas
 
Y'a plus personne,
y'a plus qu'l'automne
Aïe, aïe, aïe
Mais qu'est-ce que tu m'fais là ?
Tu délires ou quoi ?
Ma tête est folle,
j'crois qu'tu t'envoles
Tu t'en vas,

Me dis pas qu'tu t'en vas
Non, tu t'en vas,
Me dis pas qu'tu t'en vas
Oh, tu t'en vas
t'en vas

Non, non, tu t'en vas

Tu t'en vas
Oh, tu t'en vas
t'en vas
tu t'en vas tu t'en vas
Ohhh tu t'en vas

Auteur : Gérard Salert
Compositrice : Cosette Federighi
Arrangement : Patrice Pertuit
Chant, clip et mixage : Patricia D

Tout était tranquille dans notre petite ville
Quand soudainement un bourdonnement

S'approcha sonore de plus en plus fort
Et ce tintamarre
Etait issu d'un cirque et de sa fanfare.

A la tête du cortège, il y’avait
Le bateleur lançant son brigadier  
Haut dans le ciel  pour bien le rattraper.
Les tambours, les trompettes l'accompagnaient,

La troupe entière derrière le suivait.
Tout ce tumulte ameuta les badauds
Pour qu'la parade  devant une' foule bientôt
Déroule avec joie son long flot

Dans leurs beaux costumes brillants de paillettes
Chaque artiste assume son rang dans la fête.
Dans ce défilé chacun d'eux présente
Un petit extrait
Du numéro qu'il nous fera sous la tente.

Y’avait ainsi les clowns qui s'houspillaient
Et les jongleurs luttant d'habileté ;
Sur leurs échasses, y’avait les trapézistes
Qui se perchaient comme' les fildeféristes ;

Les magiciens tiraient haut leur chapeau.
Et la parade  soulevait les bravos.
Rien de meilleur pour la publicité
Que d'perpétuer ce défilé.

Chapiteau dressé tout le cirque est prêt
Et tous les billets se sont arrachés.
Devant l’affluence, une autre séance
Déjà se prépare
Pour tous les gens qui sont arrivés trop tard.

Pantalon blanc, veste à queue d' pie ponceau
Monsieur Loyal présente chaque' numéro
Les dompteurs dont les fauves donnent le frisson
Puis les clowns qui décrispent la tension  

Il y’a aussi la grâce de l'écuyère
Et la surprise que l’magicien génère
Devant tant de prouesses, de beauté
Les spectateurs sont envoutés.  

Auteur compositeur : Pierre Lods
Tirée de l'album  "Je serai" paru en 2012
Chant, clip et mixage : Patricia D
Merci Eric pour l'instrumental

J'ai suivi tant de chemins
Affronté tous les coups durs et le destin
J'ai connu tant de chagrins
Combattu, toujours fait face au lendemain
J'ai toujours suivi ma route,
Malgré tout j'ai avancé
Même le cœur en déroute,
j'ai toujours choisi d'aimer

J'ai vécu, parcouru
Les kilomètres de ma vie
J'ai donné sans compter
De l'amour, de l'amitié.

J'ai vécu mille existences,
j'ai connu la différence
Entre le bien et le mal,
Le vrai, le faux qui fait mal

J'ai toujours cru en la chance
Compté sur la providence
Tant de fois je m'suis trompé
Mais j'ai toujours encaissé

J'ai vécu, parcouru
Les kilomètres de ma vie
J'ai donné sans compter
De l'amour, de l'amitié,

j'ai repoussé la violence
Préféré la tolérance,
je n'ai pas voulu gâcher
Le peu de temps que j'avais

J'ai compris que l'on n'était rien.
Le temps passe et tout s'efface,
Puis tout s'éteint.
J'ai tendu cent fois la main
Aidé tant de gens
Qui ne croyaient plus en rien
J'ai toujours suivi ma route
Malgré tout j'ai avancé
Je n'ai jamais mis en doute
Que l'important c'est d'aimer

J'ai vécu, parcouru
Les kilomètres de ma vie,
J'ai donné sans compter
De l'amour, de l'amitié.

Pendant toute mon existence,
j'ai écouté ma conscience
Tant de fois elle m'a aidé
Sans elle j'aurais pu sombrer

Ce n'est pas toujours facile
Dans un monde parfois hostile
Moi j'ai misé sur l'amour
On m'le rend bien chaque jour

J'ai vécu, parcouru
Les kilomètres de ma vie.
J'ai donné sans compter
de l'amour, de l'amitié.

J'ai vécu, parcouru
les kilomètres de ma vie
j'ai donné, sans compter,
de l'amour, de l'amitié

Auteure : Béatrice Montagnac

(Sonnet espagnol à ritournelles)

Musique : SUNO AI

Création du clip, mixage et chant : Patricia D

Dans la grande forêt, s’anime un régiment,
Ce beau saule pleureur éponge sa tristesse,
Quand le charme-houblon lui fait un compliment
Qu’une larme s’envole avec délicatesse.

Un cerf majestueux porte un lourd châtiment,
Celui-ci, par malheur a perdu son Altesse,
Qu’un chêne ému le prend près de lui gentiment,
L’animal est touché, par cette politesse.

Un noisetier reçoit deux ravissants jacquets,
Il leur offre le pain, ses goûteuses noisettes,
Qu’ils mangent aisément, puis ferons des paquets,
Pour la prochaine saison sous cet arbre.

Un châtaignier attend l’automne et ses acquêts
Qui seront récoltés, donc, il fait des causettes
Aux pins durent l’été, bluffés des perroquets
Ne seraient, absolument pas de marbre.

Folklore du Limousin
Collecté et harmonisé par Patrice Pertuit

Chant, clip et mixage : Patricia D

Derrière le castel de-e  Monviel
Là, chantait une be-el-le
La la la la , la la la la
Là, chantait une be-el-le

Le fils du Roi l’en-en-tendit
Du haut de ses fenê-ê-tres
La la la la , la la la la
Du haut de ses fenê-ê-tres

Achève, belle, ta-a chanson
Ta chanson est si be-el-le
La la la la , la la la la
Ta chanson est si be-el-le

Comment voulez-vous que-e j’achève
Moi, pauvre dé-é-consolée
La la la la , la la la la
Moi, pauvre dé-é-consolée

Belle, n’as-tu pas un-un ami
Un ami ou un frè-è-re
La la la la , la la la la
Un ami ou un frè-è-re

Ni mon frère, ni mon-on amant
Eux sont morts à la gue-er-re
La la la la , la la la la
Eux sont morts à la gue-er-re